« Michael, ton Bielle
These are words that go together well
My Swell
Michael, mon Bielle
Sont les mots qui vont très bien ensemble
Très bien ensemble
I love you, I love you, I love you
That’s all I want to say
Until I find a way
I will say the only words I know that you’ll understand … »
Connaissant mon attirance pour cette distillerie (à plus d’un titre), je ne pouvais pas passer à côté de cet embouteillage aux belles promesses. La touche F5 de mon clavier en est témoin ! 
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En résumé : frais, fruité, pâtissier, épicé, doux, sucré, floral, … rien que ça !
On commence par une fraîcheur menthol/réglisse, qui glisse vers le floral, avec quelques vapeurs d’essences de parfums hespéridés (orange, mandarine).
Un boisé doux et vanillé s’invite ensuite, laissant place à la canne bien sucrée.
C’est la que se révèle le côté pâtissier avec des fruits confits, une odeur de croissant frais, de colle Cleopatra et de chocolat au lait.
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Une entrée en bouche très douce, sucrée, presque liquoreuse. De l’orange confite, du kumquat, du miel …
Un boisé légèrement poivré qui s’atténuera avec l’aération.
Puis la canne bien sucrée, et ce sucre qui vire à la mélasse, laissant une légère trace amère sur la finale, provenant également des zestes d’oranges confites.
Le chocolat est plus noir cette fois, et des notes de café et de tabac l’accompagnent.
Conclusion :
J’avoue que j’ai eu un peu peur de m’y perdre au nez tellement la palette semblait riche au départ.
Mais au final, tout s’enchaîne parfaitement, c’est juste un vrai voyage olfactif à chaque fois.
Le genre de verre qu’on passe sa soirée à renifler avec plaisir.
Enfin moi, du moins …
En bouche, il étale également une palette plus large que les embouteillages classiques dont mon palais se souvient (2012, 2013, 2014 …).
On y retrouve toutefois bien la trame Bielle, mais elle est davantage sur les agrumes et un peu moins sur les épices douces.
Un très bon jus, fruit d’un beau travail !
Bravo !