Une cuvée extraite des chais de la maison La Mauny, sélectionnée par Chantal Comte, élevée durant 14 ans dans des fûts de chêne américain ayant préalablement contenu du Bourbon, puis 18 mois en cuve inox.
Le jus à ensuite été embouteillé à son degré naturel (brut de fût) en avril 2017, édité à 1715 quilles numérotées.
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Très jolie robe à mi-chemin entre l’ambre et le cuivre, dont l’épaisseur adhère sérieusement aux parois.
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La première chose qui me vient en tête est la rondeur. Fruits à coque et vanille composent ce premier nez.
En s’y penchant un peu plus, j’y trouve également de l’abricot sec, de la mangue bien mûre, et un léger boisé.
Avec le temps, la vanille s’assagit et des notes de cire viennent nous chatouiller les narines.
On finit sur une pointe de fraîcheur hespéridée (Orange).
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Une première gorgée sans aération : c’est puissant, gras, concentré, un peu piquant. Les 64,8 watts diffusent la vanille et le boisé est présent mais à juste dose.
Le temps fait son œuvre, et le côté piquant disparaît, laissant toute la place a l’alcool de s’imposer, sans heurter non plus.
Il vient porter a nos papilles des notes de tabac, de Bourbon, amplifie un peu le boisé, et tapisse la bouche de ce jus épais et gras.
La finale tire sur le bois, la vanille (toujours), et l’orange amère.
Conclusion :
Mon ressenti est tellement éloigné des notes de dégustation de Chantal Comte elle même que j’en suis presque à me demander s’il n’y a pas eu erreur d’étiquetage de ce sample ! 
À moins que ce soit moi qui sois à la ramasse.
Mais non … j’ai trouvé de l’écho par ailleurs à ce que j’ai pu identifier … ouf ! 
Quoi qu’il en soit, c’est très bon ! 
Un très bel équilibre entre des arômes puissants et un alcool parfaitement intégré.
Un bel agricole, très bien fait, plutôt classique dans sa palette aromatique, mais riche à souhaits.
J’aime !